Sujet: ORPHEE - I just died in your arms Dim 24 Juil - 23:34
ORPHEE XANDER MANDRANE
✐ surnom(s) : Orphean de la part de ceux qui ne l’aiment pas… Ses proches ne lui donnent aucun sobriquet ✐ âge : 25 ans ✐ date de naissance : 3 février ✐ origines : Cardiff, Pays de Galle ✐ sang : Sang mêlé ✐ localisation : Londres ✐ statut : Célibataire ✐ métier : Étudiant en médecine, en externat à Sainte Mangouste ✐ ancienne maison : Serpentard. Il dû longtemps cacher ses origines mêlées à ses camarades, de peur qu’ils ne l’acceptent pas ✐ patronus : un lynx ✐ baguette : 24 cm, bois de chêne et ventricule de dragon ✐ groupe : floo powder
le miroir du risèd ✐ pseudo / prénom : Nes / Agnès ✐ âge : 22 ans ✐ activité : Régulière ✐ avis sur le forum : L’idée est bonne et il y a déjà des gens que j’aime ici :D ✐ votre armoire à disparaître : Une amie ✐ crédits : Tumblr / Nes / Gif : http://tomstudaily.livejournal.com ✐ célébrité souhaitée : Tom Sturridge
- C’est un beau garçon !
Un cri strident retentit dans la maternité. Ce n’était pas celui du nouveau né, mais celui de sa maman. La jeune Debbie Philips, épouse Mandrane, s’effondra en sanglots. Ce bébé, elle ne le voulait pas. Pas sans Thomas, pas sans leur vie commune, pas sans quelqu’un pour l’aider à faire face à ses toutes nouvelles responsabilités. C’était trop de poids, trop de douleur, trop de contraintes. Elle ne pouvait s’occuper seule de cet enfant, et n’avait pourtant pas le choix. Deux semaines plus tôt, son compagnon avait trouvé la mort alors qu’il protégeait Gringotts sur laquelle une alerte au braquage – qui s’était alors justifiée – avait été lancée. Mais Debbie ne savait pas. Elle ne savait pas qu’en l’incitant à faire ce travail, elle le conduirait à sa mort. Elle ne savait pas qu’en acceptant qu’il serve le monde des sorciers, cet univers qu’elle connaissait si peu, elle deviendrait veuve avant d’avoir soufflé sa trentième bougie. Veuve, et mère. Belle ironie. Cet enfant brun, aux yeux bleus comme des saphirs, la regardait fixement. Comme s’il comprenait que son destin allait être particulier, comme s’il savait, avant même de pouvoir comprendre ce qu’étaient l’amour et la vie, l’épreuve que devait traverser celle qui lui avait donné la vie à cet instant précis. La belle jeune femme aux cheveux d’or regarda la sage femme, les joues encore mouillées des larmes qu’elle avait laissées échapper quelques secondes plus tôt. Ses cernes cachaient la moitié de son visage, et la partie laissée intacte montrait des rides bien trop marquées pour un si jeune âge. Elle avait besoin de se reposer, de prendre du recul par rapport à cette vie, cette nouvelle vie, déjà si assommante.
- Comment s’appelle-t-il, Madame ? - Orphee, répondit Deborah sans la moindre hésitation.
Onze ans plus tard
- Qu’est-ce que tu attends au juste ? Viens, je t’attends ! Gros nase. Même pas capable de se battre.
Je serrai les poings, encore et encore. Je n’avais jamais répondu à la provocation. Je n’avais certes que onze ans, et vous penserez comme tout le monde qu’un enfant si jeune n’a, de toute façon, pas pu avoir l’occasion de déployer toute sa colère. Et bien croyez-moi, si j’avais laissé parler mes sentiments à chaque fois que j’en avais eu envie, il y aurait souvent eu des étincelles. J’étais pacifique, calme, souvent qualifié de « désinvolte ; se dit d’une personne impertinente, nonchalante ». Je n’étais pas désinvolte. Je n’étais absolument par nonchalant, mais au contraire tout à fait conscient de ce qui pouvait m’arriver. J’avais toujours été frêle, fragile, et je n’étais pas non plus le plus populaire des garçons. Je n’avais pas une foule d’amis, un cercle d’admirateurs qui me trouvaient subtil ou charmant. J’étais juste bon à aller à l’école, ramener quelques bonnes notes et me faire discret. Ma mère m’avait toujours dit : « Ne me regarde pas, Orphee. Tourne la tête et fixe l’horloge, la cheminée ou bien la fenêtre. Regarde l’horizon, mais ne pose pas tes yeux sur moi. Tu ressembles trop à ton père. Je ne veux pas recroiser ce regard avant de l’avoir rejoint au ciel ». Sais-tu, maman, qu’il n’y a pas de ciel pour les gens comme nous ? Nous sommes des monstres. Je me plaisais à nous appeler « mutants » à une époque, mais peut-être n’avais-je pas tort. Nous étions issus d’une mutation, à notre façon. Je savais que tout ce qui arrivait était contre nature. Et l’Avada Kedavra qui avait tué papa, tu n’avais pas cherché à me cacher son existence non plus. Quand les éléments s’agitaient autour de moi, je savais que j’en étais la cause. Un si petit bonhomme qui faisait tant de vagues. Personne ne pouvait rien contre moi. J’avais l’impression d’être le maître de l’univers. J’avais bien trop de pouvoirs enfouis au fond de moi pour en user avec parcimonie. Je fixais le caïd, placide. Son air goguenard me fit pourtant tressaillir. Les feuilles des arbres se mirent à bouger, de plus en plus vite. Il pensait que ce n’était que le vent : une petite bourrasque, voilà tout. Quelle explication donnait-il donc à cette bruine, puis à cette branche qui s’abattit sur ses épaules larges. L’adolescent en surpoids se retourna d’un geste et leva ses yeux vers les ramures immobiles du peuplier. Ne voyant rien, et ne voulant pas passer pour le dernier des paranoïaques, il reporta rapidement son attention sur moi.
- Comment fais-tu cela ? Monstre ! Je vais le dire à tout le monde, et les gens sauront que tu n’es pas normal !
Sur ces mots, il s’enfuit en courant. Rien de bien spécial. Quand ce genre de phénomène se manifestait – et encore, là, ce n’était qu’une ébauche du mon véritable pouvoir – les gens prenaient subitement peur et partaient sans demander leur reste. Si seulement ce n’était pas le cas de tout le monde… Je n’avais aucun véritable ami. Personne ne comprenait que je puisse rester un garçon comme les autres, tout en étant doté de pouvoir prodigieux. Même moi, cela me laissait parfois pantois. J’avais beau ne pas ignorer que mon père avait été un grand sorcier, il m’était difficile de concevoir qu’un sang bâtard pouvait couler dans mes veines. Je le vivais mal ; je n’acceptais pas de vivre dans ce monde de moldus qui me rejetait, alors que celui des sorciers, ma vraie place, m’aurait accepté tel que j’étais, sans vouloir me coller sur le dos l’étiquette d’un « monstre » que je n’étais pas. Mes yeux étaient restés figés sur l’arbre face à moi, et mes pensées voletaient désormais sans réel but, lorsque j’entendis la voix glaciale que je connaissais tant.
- C’est l’heure, dit ma mère. Son ton était indifférent, sa voix fine et terrifiante à la fois.
Je ne me tournai pas vers elle, sachant qu’elle ne voulait plus affronter mon regard depuis quelques années déjà. Je baissai juste les yeux vers la lettre que j’avais reçue quelques jours plus tôt et qui allait sceller mon destin et redorer l’avenir que je me préparais à avoir… Le seau de Poudlard brillait sous le feu du soleil d’été.
4 heures plus tard
Je m’étais frayé un passage dans le train qui me conduirait à l’école de sorcellerie. J’étais à la fois terrifié et excité. Je savais que j’allais vivre mes plus grands instants dans ce château, que j’allais apprendre à canaliser mon énergie, à contrôler mes pouvoirs et à les faire miens pour de bon. Mon compartiment était vide. Une aubaine. J’installai mes affaires sur les porte-bagages, puis m’assis côté fenêtre. Le train n’était pas encore parti lorsque j’entendis une petite voix m’interpeller. Je tournai le regard.
- Pardon de te déranger, les autres compartiments sont pleins. Je peux m’installer ici, ça ne te dérange pas ?
Je ne savais pas encore ce que c’était d’avoir des amis. J’avais toujours été seul. Même la compagnie m’avait toujours manqué. Ma mère n’avait jamais été qu’une présence. Elle était un fantôme qui n’avait participé à ma vie que pour la débuter. C’était triste, tellement triste, mais c’était vrai. La personne qui était à présent entrée dans le compartiment était une jeune fille blonde. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Son visage me rappelait celui de ma mère, celui que j’avais tant admiré et tant aimé sans pouvoir vraiment lui dire, ni être entendu. Ses lèvres étaient habillées d’un sourire, ses yeux étaient rieurs. Ses expressions faciales différaient en tous points de celles que ma mère pouvait avoir. Une fois assise, elle me tendit la main. Alors que je la serrai, elle me gratifia d’un « Moi, c’est Lucy ».
Dernière édition par Orphee X. Mandrane le Lun 25 Juil - 7:40, édité 2 fois
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Dim 24 Juil - 23:34
3 ans plus tard
Je regardai fixement ce qui se passait devant mes yeux. Les deux élèves se livraient un duel sans merci. Il n’y avait aucun professeur dans les parages, rien pour les départager. Je desserrai ma cravate vert-argentée ; j’avais le pressentiment que ça ne se terminerait pas bien. Pour aucun des deux. L’issue ne pouvait être que fatale. Les sorts redoublaient d’intensité, et le Serpentard et le Poufsouffle qui se tenaient à quelques mètres de moi devaient désormais faire des efforts d’imagination pour éviter les jets de lumière fatals. Nous étions une petite foule à les observer à présent. Une dizaine d’élèves, tout au plus. Le combat avait lieu à quelques pas de la Forêt Interdite, dans un endroit caché des professeurs. Alors que celui de ma maison assénait à l’autre un Stupefix, que celui-ci évita de manière assez brillante, je sentis une présence s’installer à mes côtés.
- Que font-ils ? demanda Lucy. - Rien qui te regarde.
Je ne voulais pas qu’elle s’en mêle. Gryffondor, elle était courageuse et combative. Peut-être trop. Je saisis sa manche.
- Je t’interdis d’y aller. - Et si je ne veux pas t’écouter ?
Je posai enfin les yeux sur elle. Elle était fougueuse, impertinente. Encore plus que moi. Nous avions beaucoup erré dans le château à nos heures perdues, nous avions appris à nous connaître et je pouvais avouer sans gros risque qu’elle était ma meilleure amie sur terre. Mais je l’aimais autant que je détestais sa façon de ne jamais être assez prudente. Elle avait tendance à se croire invincible, toute puissante, ce qui était faux, bien sûr. Elle était certes très douée, mais pas assez préparée à affronter les dangers du monde.
- Quel est le sujet de la dispute ? - Une fille. - C’est ridicule.
C’est son poignet que je saisis désormais, resserrant mon étreinte.
- Pas tant que ça.
Elle me regarda alors, et je vis que dans ses yeux brillait la fougue du combat. Je secouai doucement la tête. « Non, n’y vas pas, je t’en prie ». Alors qu’elle faisait un premier mouvement pour s’élancer, je la retins. Je sentais mes tempes battre tellement j’avais peur pour elle. La Gryffondor fit un geste vif, et je lâchai mon étreinte. Personne n’avait suivit la scène, pourtant si importante, qui se déroulait parallèlement au combat. Alors qu’elle bondissait entre les deux sorciers, j’eus à peine le temps de voir l’Endoloris jeté par le Serpentard. Le Poufsouffle, qui rétorquait par un autre Endoloris, frappa une seconde fois Lucy. Elle s’effondra au sol, secouée de spasmes.
- FINITE INCANTATEM !
Je bondis sur mon amie. Sa respiration était si faible que je pouvais à peine l’entendre. Je pensais alors qu’elle était morte. Les élèves avaient stoppé leur querelle, sachant pertinemment que les professeurs découvriraient ce qui avait eu lieu ici, et qu’ils auraient alors les plus gros ennuis possibles et imaginables. Je m’étais penché sur le corps de mon amie, tremblant, chancelant. Je mis ma main dans la sienne et murmurai :
- Lucy, si tu m’entends, s’il-te-plaît, serre ma main.
Rien ne se passa. Je plongeai mon visage dans le cou de mon amie, mais c’était désormais une façon de mieux cacher mes larmes. Je ne pouvais plus respirer. J’avais l’impression d’être dans le pire des cauchemars, l’un de ces rêves où il arrive du mal à la personne que vous aimez le plus au monde, l’un de ces rêves où vous préfèreriez mourir vous-même. J’entendis le Serpentard derrière moi murmurer « Ce n’est qu’une sang de bourbe, après tout ». Je ne le relevai même pas. Plus rien n’avait d’importance. Les autres élèves nous regardaient, je pouvais le sentir. Ils s’étaient tous mis à chuchoter entre eux. Je serrai un peu plus fort la main de Lucy. Elle ne fut transportée à Sainte Mangouste qu’une vingtaine de minutes plus tard. Ils avaient tous tellement peur de la réprimande que personne n’avait osé s’occuper d’appeler des secours.
2 heures plus tard
Mon regard était encore plus vide que dans les plus sombres heures de mon enfance. Mes yeux étaient rouges, comme si je n’avais pas dormi depuis plusieurs jours, et mes joues aussi, comme si je les avais intensément frottées pour essuyer la moindre trace de larme. Je donnai un autre coup de poing dans un mur des toilettes des garçons. Mes phalanges s’étaient mises à saigner. J’entendis des bruits de pas, qui s’arrêtèrent quelques mètres derrière moi. La voix de Zephir, qui était désormais en dernière année, s’éleva dans la salle.
- J’ai appris pour ton amie. Je suis désolé.
J’éclatai en sanglots. Elle était vivante, mais elle ne serait plus jamais comme avant. Elle qui avait tant envie de devenir Auror… comme mon père. Cela lui serait impossible. Elle ne pourrait pas revenir à Poudlard, et encore moins avoir un métier. J’explosai soudain, hurlant d’une voix cassée :
- Je n’ai rien fait pour l’empêcher de s’interposer ! Tout est de ma faute ! Je l’ai tuée ! - Elle n’est pas morte, Orphee… - Elle serait mieux si elle l’était !
Je lui tournais toujours le dos. Je sentis ses grandes mains saisir mes épaules. Il avait franchi silencieusement les quelques mètres qui nous séparaient. Je savais pertinemment que Zephir devait être surpris. Il ne m’avait jamais vu perdre mon sang-froid de la sorte. J’avais toujours été la personne calme, raisonnable et posée. J’avais toujours été très mûr pour mon âge, et c’est aussi la raison pour laquelle nous étions devenus amis. J’étais beaucoup plus sage que lui. Mais à cet instant, je n’étais pas reconnaissable. Une fureur incontrôlable m’avait envahi. Je luttai pour me défaire de son emprise, mais il resserra ses mains, s’accrochant désormais à ma chemise pour ne pas me laisser filer.
- Je comprends ta douleur… Mais ce n’est pas ta faute. On m’a raconté ce qui est arrivé. On m’a aussi parlé de Lucy. Elle y serait allée quand même. Tu n’aurais pas pu l’en empêcher.
Je stoppai ma lutte. Les sanglots secouaient toujours mon corps. Je n’arrivais plus à respirer. J’aurais préféré y aller à sa place, oui. Être touché, mourir peut-être, mais la savoir en sécurité. Zephir se plaça face à moi, et je me pressai contre lui. Il m’emprisonna dans ses bras, comme pour calmer mes convulsions, et me serra tellement fort que mon souffle se coupa. Je respirai de plus en plus calmement, et lorsque j’eus repris un rythme cardiaque normal, la cage que formaient ses bras se défit naturellement pour n’être alors qu’une accolade amicale.
Je continuais d’étudier à Poudlard, mais ma soif de connaissances n’était plus la même, et ne faisait plus le poids face à ma tristesse, et aux remords que j’éprouvais concernant la vie que j’avais indirectement offerte à mon amie. Je lui rendais visite chaque semaine, mais elle se souvenait à peine de moi. Elle n’était plus celle que j’avais connue. On me demanda une fois pourquoi je continuais de lui rendre visite alors qu’elle ne savait même plus que j’existais. Que répondre… Moi, je savais qu’elle existait. C’était tout ce qui comptait. Je m’en serais voulu de ne pas aller la voir, de ne pas être auprès d’elle, même si je ne pouvais rien faire pour arranger sa situation. Sans compter qu’elle fut la seule et unique fille que j’aie jamais aimé.
c'est toi la buse ✐ Sa mère est moldue. ✐ Son père, Auror, fut tué en mission alors qu’Orphee n’avait pas encore vu le jour. Sa mère est encore vivante, mais son cœur est plus noir que la nuit ; Orphee garde donc ses distances avec elle. ✐ Lors d’un banal duel, alors qu’il étudiait à Poudlard, sa meilleure amie Lucy fut grièvement blessée. Cet événement l’incita à devenir médecin. ✐ Malgré son appartenance passée à Serpentard et sa vie de sorcier, il possède un certain attachement au monde moldu et œuvre pour l’entente entre les deux communautés. ✐ Il aurait voulu être Auror, mais le destin de Lucy a tout remis en question. ✐ Son cou est balafré, signe de son entraînement d’il y a quelques années pour suivre les pas de son père. ✐ Sa plus grande qualité / Son pire défaut est l’obstination. ✐ Zephir reste son plus fidèle ami de l’époque Poudlard. ✐ Son parfum préféré est celui de la pluie en été. ✐ Il ne parle que très peu, mais son silence signifie souvent bien plus que tous les mots.
Dernière édition par Orphee X. Mandrane le Lun 25 Juil - 7:39, édité 2 fois
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Dim 24 Juil - 23:53
HAAAN . Je suis contente, nous voilà réunies ! <3 . & avec les persos qu'on s'est créés, y'a de quoi se faire des trucs de oufs ! J'ai hâte, hihi. Sinon, tu es plutôt sexy en Sturridge ! héhé.
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 7:40
Merci ma belle :3 Voilà, ma fiche est terminée
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 8:00
Bienvenue (et je peux pas dire bonne chance pour ta fiche, t'es trop rapide )
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 9:08
Je viens de dévorer ta fiche ma belle Elle est magnifique (l) J'ai hâte qu'on puisse lancer nos zigotos !
Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 10:10
tm + le prénom + T'AS LE MÊME PRÉNOM QUE MOI IRL AAAAAAAAAAAAAH COPINE OUAAAAAAAAAAAAIS. D'habitude c'est que des vieilles pas belles et aigries (moi je suis juste pas belle et aigrie) bon bref, je file te réserver tom, il est à toi pour trois jours. Merci de ton inscription et bonne chance pour ta fiche Déjà terminé,e en fait Pour moi tout est bon dans ta fiche, à part le terme étudiant en médecine qui me titille un peu. A Ste Mangouste, ce sont des guérisseurs, ou des médicomages -mais eux c'est plus comme des auxiliaires médicaux, en fait-. Peut-être que apprenti guérisseur ou apprenti médicomage irait mieux, et encore je sais pas comment ça se passe en fait bref c'est pas pour ça que je vais retarder ta validation, bienvenue chez les bavboulets
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 11:09
Argh, voilà, VOILÀ, je suis officiellement vieille, ça fait trop longtemps que je n'ai pas lu HP et je ne me souvenais plus du terme exact "médicomage"... Je vais changer ça direct, pas de souci :)
Merci pour cet accueil Agnès et tous les autres
- Edit : Bon, j'arrive pas à valider l'édition de mon message, donc je laisse comme ça mais sachez que c'est Apprenti médicomage, du coup.
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 12:36
Poua, c'est beau ce que tu as écris ... ! T'en fais pas, Merope sera là pour remplacer Lucy, héhé. Maggle, je sors.
C. Joyce Holmes
CALLIE ♕ If you feel it, let it happen, keep on dancing ‘till the world ends.
Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 12:41
BIENVENUUUE
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 12:55
Chloé : OWI
Callyopé : Merci
Jasper Jabberwook
Parchemins postés : 54 crédits : silk stocking.
Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 13:16
à peine arrivé, déjà validé même si je n'ai pas encore fini ma fiche, je me permets de te souhaiter la bienvenue, parce que je suis amoureuse de sturridge tu as fait un choix divin
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 13:39
Qui n'est pas amoureuse de Sturridge ?
Merci (Andrew Garfield est tellement craquant aussi...)
Jasper Jabberwook
Parchemins postés : 54 crédits : silk stocking.
Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 14:42
ils sont potes en plus
Spoiler:
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms Lun 25 Juil - 14:44
Je savais déjà que Tom et Robert étaient inséparables mais j'savais pas pour Andrew !! C'est chou. :3
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Sujet: Re: ORPHEE - I just died in your arms
ORPHEE - I just died in your arms
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Sujet: ORPHEE - I just died in your arms 
. Je suis contente, nous voilà réunies ! <3 . & avec les persos qu'on s'est créés, y'a de quoi se faire des trucs de oufs ! J'ai hâte, hihi. Sinon, tu es plutôt sexy en Sturridge ! héhé.
) 
bref c'est pas pour ça que je vais retarder ta validation, bienvenue chez les bavboulets 
