AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal

ELVIS △ you hit me once, i hit you back

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Elvis Teeroy
Elvis Teeroy
OBLIVIATE Ϟ the cigarette smoker

Parchemins postés : 75
crédits : applestorm, tumblr
MessageSujet: ELVIS △ you hit me once, i hit you back ELVIS △ you hit me once, i hit you back EmptyVen 22 Juil - 20:53


ELVIS NOA TITUS TEEROY


surnom(s) : tilt, par ses parents, seules personnes au monde à pouvoir l'affubler d'un vulgaire surnom ✐ âge : vingt-six ans ✐ date de naissance : il est né le huit juin ✐ origines : anglaises ✐ sang : moldu ✐ localisation : un petit appartement au Chemin de Traverse ✐ statut : célibataire, s'est fait larguer en beauté ✐ métier : tout jeune oubliator ✐ ancienne maison : poufsouffle ✐ patronus : un raton-laveur ✐ baguette : trente centimètres, bois de chêne, et contient un ventricule de cœur de dragon. Il est content, ça fait viril. ✐ groupe : floo powder

le miroir du risèd
pseudo / prénom : celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer le nom ahah. Enfin, toujours la même idiote qui aime les devinettes quoi, et qui en vrai s'appelle agnès ✐ âge : toujours dix-huit ans, toujours pas de gnomes ✐ activité : je sais pas trop, ici ça pue ✐ avis sur le forum : j'ai dit quoi avant, hein ? ✐ votre armoire à disparaître : bah en fait je suis un peu schyzo alors je sais plus ✐ célébrité : max irons

Revenir en haut Aller en bas
Elvis Teeroy
Elvis Teeroy
OBLIVIATE Ϟ the cigarette smoker

Parchemins postés : 75
crédits : applestorm, tumblr
MessageSujet: Re: ELVIS △ you hit me once, i hit you back ELVIS △ you hit me once, i hit you back EmptyVen 22 Juil - 20:54

c'est toi la buse
✐ il consomme du café abusivement, ainsi que des cigarettes, qu'il achète -en dépit de ses vingts-six ans- en cachette de sa mère : le seul endroit qui peut lui en fournir reste le monde moldu.
✐ grâce à son statut de né-moldu, il est en lui-même une passerelle entre le monde moldu et le monde sorcier : son travail dans le Département de Réparation des Accidents de Sorcellerie au ministère s'est donc présenté comme une évidence, Elvis ayant le niveau requis pour devenir oubliator. Il exerce ce travail depuis deux ans maintenant : auparavant, il travaillait comme cuisinier au chaudron baveur.
✐ il a beau prétendre le contraire, Elvis ne sait pas mentir, ne sais pas faire de blagues drôles, de sait pas draguer, ne sait pas danser et sait encore moins tenir son appartement propre. En revanche, c'est un excellent cuisinier et un musicien aguerri.
✐ lorsqu'il ne travaille pas, il passe son temps aux terrasses des cafés du Chemin de Traverse, et retourne au Chaudron baveur afin d'y retrouver ses vieilles habitudes et ses anciens camarades.
✐ elvis était un excellent élève : à ses examens, il n'a reçu que des O, excepté en divination où il s'est vu donné un E, et botanique, matière dans laquelle il n'a jamais eu que des A. Il aimait l'école, apprendre, et se montrait être un redoutable concurrent aux premières places. Lors de ses dernières années, il a même été nommé préfet, puis préfet-en-chef.
✐ malgré tout, il n'était pas le premier à suivre les règles, ni le dernier à en enfreindre. Mais très discret, il ne s'est jamais fait prendre. Quoique, si, une fois, lorsqu'il a été surpris à provoquer faire une bataille d'eau dans les toilettes des filles. Même s'il avait été un très bon menteur, ses vêtements mouillés ne l'auraient pas aidés.
✐ il été en deuxième année lorsque Rogue est devenu directeur de Poudlard, et que la seconde Guerre a eut lieux. Mais Elvis n'a rien connu de tout ça : sa mère, très au courant de ce qui passait avait retiré son fils de l'école, qui avait reçu des cours d'un sorcier du Ministère. Si ce dernier a eu de graves ennuis, il a quand même réussi à garder son poste. C'est lui qui a poussé Elvis à devenir Oubliator.
✐ ne pas avoir été là pour soutenir la communauté magique a été une grande frustration pour le jeune garçon, même s'il savait très bien que avec un an seulement d'apprentissage de la magie, il n'aurait pas été d'une grande aide. Néanmoins, il a le sentiment d'avoir une dette envers tout le monde à cause de cela.
✐ en signe de protestation et de soutient, elvis s'est entaillé le ventre. Il en garde toujours la cicatrice, et ça fait craquer les filles.
✐ il a une sainte horreur des animaux et marche toujours le plus vite possible lorsqu'il est devant la ménagerie magique.
✐ il est un peu lourd, parfois.
✐ il a une sainte horreur du retard, et se point facilement une demie heure en avance à ses rendez-vous. Elvis est connu au ministère pour son hyper-ponctualité.
✐ Casser le jaune d'œuf de ses œufs-au-plat peut suffire à lui faire passer une horrible journée.
✐ Elvis est prévoyant, aime prévoir, n'aime pas l'imprévu. Il déteste les surprises, et c'est sans doute pour ça qu'il prépare toujours une liste des cadeaux qu'il aimerait pour son anniversaire. Si jamais votre présent ne figure pas dans la liste, même s'il est susceptible de lui plaire, il pourrait mettre Elvis en rage, par principe.
✐ d'ailleurs, Elvis a beaucoup de principes, toujours très personnels . Le premier est de ne pas avoir de principes.
✐ il n'a jamais connu son père, et a deux sœurs, des moldues, Verra et Avena. Il s'est longtemps demandé si son père était sorcier, mais ce n'est pas le cas.



Dernière édition par Elvis Teeroy le Dim 24 Juil - 21:41, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Elvis Teeroy
Elvis Teeroy
OBLIVIATE Ϟ the cigarette smoker

Parchemins postés : 75
crédits : applestorm, tumblr
MessageSujet: Re: ELVIS △ you hit me once, i hit you back ELVIS △ you hit me once, i hit you back EmptyDim 24 Juil - 21:36

の trente août 1996, londres, propriété des teeroy
Elle lui caressait les cheveux, sans éprouver une once de lassitude. La tête reposant sur ses cuisses, il se laissait faire sans rechigner. Il aimait bien, quand elle faisait ça. il sentait déjà ses paupières qui se laissaient tomber, comme des parachute. Il aimait bien, quand ça faisait ça. Pas encore endormi, mais pourtant incapable d'écouter quoi que se soit d'autre que son propre souffle et que les aléas de son sommeil.
Il savait bien pourquoi elle faisait tout ça, malgré tout. Elle agissait toujours de la même manière, lorsqu'elle était inquiète. Elle se servait un verre de vin blanc tout droit venu de France, mettait un vieux disque de Jazz, et appelait Elvis. Il était le seul homme de la maison, son petit homme à elle. Le fruit de ses entrailles. Quoi qu'il puisse faire, il arrêtait tout activité et s'allongeait près de sa mère, sur le saufa beige du salon, qui avec les années prenait une lourde odeur de poussière. Bien qu'il éprouvait un plaisir égoïste à se trouver seul avec sa mère, à se faire caresser le cuire chevelu, il savait très bien pourquoi il était là et ne pouvait s'empêcher de ressentir un pincement au cœur. Elle ne disait jamais rien, dans ces moments là, et paraissait pourtant toujours empreinte d'un calme olympien. Cette fois-ci, après un long silence, elle ouvrit enfin la bouche, malgré quelques hésitations. “ je veux que tu y ailles. C'est une chance qui...“ “ tu n'es pas obligée, tu sais. Je n'irais pas, s'il le faut, tu as besoin de moi ici, je suis un homme, je vais être fort. J'ai jamais été un sorcier avant, pourquoi je le serais maintenant ? “ Elle soupira, mais esquissa un sourire, un de ceux dont seules les mères ont le secret. “ écoutes-moi bien trésor. La vie te donne un cadeau. T'offre la chance de changer ton destin. Tu es peut-être trop petit pour comprendre, mais... “ “ suis pas p'tit. J'ai onze ans et deux mois, presque trois. “ “ si tu veux, tilt, mais le fait est que ton père, il n'a jamais été là, et moi, je ne le serais pas toujours. La magie, elle sera là à tout jamais. Elle est là depuis le début. Je comprends pas encore grand chose à tout ça, pas plus que toi, mais tu as ça en toi, et ce n'est ni ton père ni moi qui te l'avons transmis : c'est un don, un don qui t'épaulera jusqu'à la fin de tes jours et qui te permettra de faire de nouvelles rencontres. Qui sait, tu rencontrera peut-être ta sorcière bien-aimée, là bas ! “ Elle lui appuya sur le bout du nez, mais Elvis ne rit pas. Il avait la mine grave. La mine grave que l'on a quand on a onze ans et deux mois, presque trois, et qu'on est contrarié. L'amour, c'était dégeulasse. Quelques minutes passèrent, le temps à Mrs Teeroy de revoir son petit garnement bambin, en train de sauter dans les flaques de boue ou de casser les poupées de ses sœurs. Ellene pu retenir un sanglot, mais étouffa toute autre trace de mélancolie. “ tu es quelqu'un de formidable trésor, n'en doute jamais. “ Ce qu'il fit.



の quinze juin 1997, londres, propriété des teeroy
“ tu n'y retournera pas Elvis, tu n'y retournera plus jamais. C'est trop dangereux. “ Il senti la colère pousser en lui, grandir à travers ses organes, lui bloquer la respiration. Les joues brulantes, il ne parvenait qu'à peine à retenir des cris de douleurs. “ Mais maman, je peux pas ! C'est mon Ecole ! Il faut que j'aille à l'Ecole ! “ “ On se débrouillera autrement. J'ai rencontré un de ces sorciers, un de ces gens importants. Il a accepté de te donner des cours pas correspondance. Poudlard était le lieux le plus sûr, qu'on disait : il n'empêche que ton directeur a été tué. TUÉ, Elvis ! Qu'est ce qu'un petit gamin comme toi peut faire contre des malades comme ça, hein ! Tu peux me dire ? Tu n'es pas en sécurité là bas, tout ça c'est finit pour toi. “ Elle pleurait, maintenant. Mais Elvis se refusait de la regarder, de ne lui prêter même qu'un regard. il était fou de rage. “ C'était ta dernière année à l'Ecole de Magie. “ Les mots résonnèrent comme le jugement dernier aux oreilles d'Elvis. La magie était comme devenue une drogue, il ne pouvait s'en passer, de son vocabulaire, de ses surprises, de son immensité. On ne pouvait le lui enlever, pas après tout ce qu'il avait vécut en une seule année. Il refusa de répondre.
Il refusa de parler.
Pendant six mois.
Quelques mots, quelques grommellements. La seule personne à qui il adressait la parole était son tuteur, seul lien avec le monde magique, qui pouvait être coupé d'un instant à un autre. Il était son défouloir, y déversait toute sa rage, sa colère de ne pas être la bas. Même quand on lui expliquait toutes les horreurs que ses camarades vivaient. Surtout quand on lui expliquait tout ce que ses camarades enduraient.
Six mois plus tard, il n'avait toujours pas parlé à sa mère.
Et la bataille de Poudlard. Elvis s'entailla le ventre, en signe de protestation, en signe de soutient envers la communauté magique. Geste idiot lorsqu'on a à peine douze ans et qu'on est bien trop petit, bien trop maigre pour son âge. Geste idiot, même quand on est grand. Elvis a finit à l'hôpital, comme ses camarades.


の vingt-trois mai 2003, écosse, poudlard, salle commune des poufsouffle
Elvis posa sa main contre les pierres froides de la salle commune. Avec un peu d'attention, on pouvait entendre les elfes de maisons s'affairer dans les cuisines du château. Poudlard n'avait pas perdu une once de vitalité, pas même après tous les décès auxquels l'école de magie avait assisté non sans se battre. Le jeune garçon, presque devenu un jeune homme, ferma les yeux, et laissa les battements de son cœur ralentir. Il était très tôt le matin, ou peut-être très tard dans la nuit, et personne ne pouvait le déranger. Le battement de ses veines sur la pierre lui donnait l'étrange sensation que c'était le sang de la pierre elle-même qui frappait contre la paume d'Elvis. Il resta là quelques instants, silencieux. Les examens de fin d'étude approchaient, mais il n'était pas nerveux. Elvis était quiet. Au lieu de réviser autant que ses camarades, il profitait des derniers instants qu'on lui offrait pour garder en mémoire les images de son école. Il n'avait pas bien dit au revoir, la dernière fois : il profiterais de celle-ci à fond. Et un jour ses propres enfants verront à leurs tours le château, se délectant des parfums des jardins et des odeurs des vieilles salles. Car oui, Elvis voulait des enfants. Quatre, cinq peut-être, ou six si la femme de sa vie est en pleine forme : ils ne les abandonnerait pas, serait un bon père, à l'instar de celui qui lui avait donné un souffle de vie.
“ tu ne dors pas ? “ Le jeune garçon sursauta et se retourna derechef, essayant d'y voir clair malgré le feu presque éteint. “ Non, je, heu... lumos. “ Il tendit sa baguette vers la voix, qu'il ne jugeait pas aussi près de lui. Il n'avait entendu personne arriver. Le visage qui se laissa découvrir par la lumière était celui d'une petite fille aux cheveux noirs, le teint pâle. Il l'avait déjà vu, puisque c'était une troisième année, mais ne se souvenait malgré tout pas de son nom. Un truc qui finissait en “a”. “ tu devrais être couchée, toi aussi. “ “ j'arrive pas à dormir.“ Elle s'arrêta, comme si elle s'apprêtait à faire une grave confession. “ je dors plus depuis longtemps. Et j'ai cru entendre des voix, alors... “ Elvis ne se souvenait pas avoir parlé, ni même émit aucun son de sa bouche. Sûrement une excuse pour aller chercher de la nourriture en cachette. Il ne fit pas attention à la mine désolée de la jeune fille, dont le nom allait presque lui revenir. Willelmina, Mina ... “ Wilma. Le prénom que tu cherches, c'est Wilma. “ “ ah merci. “ Il hésita. “ comment tu sais que ... “ “ une simple intuition. “ Elle reprit aussitôt. “ tu avais l'air de réfléchir, et comme tu dois voir des tas d'élèves à cause de ton rang, tu as du oublier le miens. C'est pas grave. Bon, maintenant que je sais que c'est toi, je vais me coucher. Tu devrai faire pareil, demain va être épuisant “ “ sans doute, merci “ Elle retourna dans les dortoirs des filles, aussi silencieusement qu'elle en était venue. Cette fille était une ombre. Maintenant qu'il y pensait, il ne lui avait jamais adressé la parole auparavant, et ne l'avait d'ailleurs jamais vu parler à qui que se soit. Il s'en souvenait, maintenant. C'était Willmoche. Il ne l'avait jamais surnommée comme ça parce qu'il l'a trouvait plutôt mignonne, mais tout le monde se moquait d'elle autour de lui, même une grande partie des gens de sa maison. Parce qu'elle était seule. Et elle était seule, parce qu'elle était bizarre. Les gens disaient d'elle qu'elle pouvait lire en vous comme dans un livre ouvert. Elvis frissonna, et s'affala dans le canapé de la salle commune. Quelques instants après, il s'était endormi.
Le lendemain, il couru dans tous les couloirs à la recherche de son livre de potions, du aller chercher un élève dans la forêt interdite et un scroutt à pétards lui explosa à la figure, alors qu'il passait près du cours de soins aux créatures magiques. Il était épuisé, et ne pu s'empêcher de penser à ce que la petite lui avait dit. elle avait une sacrément bonne intuition.


の dix-sept novembre 2010, londres, chemin de traverse, chez bigbelly
“ comme d'habitude, monsieur teeroy ? “ elle lui adressa un sourire radieux, presque aguicheur mais tout en finesse. Ses yeux brillaient. “ s'il-vous-plaît “ Elvis ne lui adressa qu'un bref regard, et retourne à son journal. Pourtant, il ne put s'empêcher de relever la tête, une fois qu'elle était partie. Cette voix n'était pas celle de la serveuse qui le servait d'habitude. Il venait malgré tout presque tous les jours de la semaine, prendre son café le matin, boire une bieraubeurre en fin de journée. Mais elle, il ne la connaissait pas. Bien que le mois de novembre était bien entamé, Elvis s'était installé à la terrasse : il était bien le seul. Du regard, il chercha la serveuse, se tortillant dans tous les sens sur sa chaise. Elle était là, au fond de la salle, en lui tournant le dos. Il connaissait ce chaloupé gracieux, ces pas silencieux et discrets. Mais pas ces courbes féminines ni cette voix assurée. La créature se retourna, le regard droit, et s'avança vers Elvis, une tasse de café à la main. “ tu peux me tutoyer tu sais, on se connaît déjà. “ Il l'interrogea du regard. De toute évidence, c'était le cas : néanmoins, il ne pouvait mettre un nom sur ce visage de poupon, qu'il avait déjà vu quelque part. Il allait lui demander les circonstances de leurs rencontres, ou peut-être faire admettre qu'elle devait se tromper, mais il fut interrompu dans sa lancée. Elle éclata de rire. Il ne connaissait pas ce rire non plus. Il ne pouvait pas la connaître. “ tu n'as pas changé, hein, elvis... “ elle lui adressa un clin d'oeil “ comment est-ce que vous, enfin, tu, je veux dire, on “ “ se connaît ? “ De nouveau, elle éclata de rire, et s'appretait à lui répondre lorsqu'une voix cria son nom. WILMA, C'EST POUR TOI Elle disparu aussitôt dans le café. “ Wilma. “ Il se précipita à l'intérieur. Elle n'était plus là.
Dans les jours qui suivirent, elle ne fit qu'une brève apparition, ne laissant à Elvis que le temps de l'entrevoir. Puis elle s'évapora complètement, jusqu'au début de l'été 2011.


Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: ELVIS △ you hit me once, i hit you back ELVIS △ you hit me once, i hit you back Empty

Revenir en haut Aller en bas

ELVIS △ you hit me once, i hit you back

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
B∆VBOULES :: 
ARCHIVES
-