Sujet: THELMA △ i'd only ever kissed before Mer 20 Juil - 21:47
THELMA BETSIE HUSTLE
✐ surnom : aucun, sinon tustle ✐ âge : vingt-trois ans et quelques gnomes écrasés ✐ date de naissance : née le vingt-et-un novembre ✐ origines : anglaises et écossaises ✐ sang : sacrément mêlé, à croire que les hustle sont des vrais lapins ✐ localisation : chaudron baveur ✐ localisation : un peu trop célibataire ✐ métier : vendeuse chez quality quidditch supplies ✐ ancienne maison : la meilleure de toutes, serdaigle ✐ patronus : un nifleur ✐ baguette : vingt-huit centimètre, souple et verdâtre sur la poignée, bois de lierre, crin de licorne ✐ groupe : grinngotts carts
le miroir du risèd ✐ pseudo / prénom : tom marvolo ✐ âge : dix huit ans, pas vraiment de gnome écrasé ✐ activité : je serai jamais là pour vous, en tout cas ✐ avis sur le forum : je sais pas, je suis juste bonne ✐ votre armoire à disparaître : je suis entrée par la cheminée, en fait ✐ crédits : contrasts @ tumblr✐ célébrité : karen toujours aussi rousse (et donc parfaite) gillan
Dernière édition par Thelma Hustle le Jeu 21 Juil - 10:51, édité 3 fois
Sujet: Re: THELMA △ i'd only ever kissed before Mer 20 Juil - 21:47
le choixpeau a toujours raison Thelma frissonna : elle n'avait pas ressenti ça depuis ... à vrai dire, elle n'avait jamais ressenti ça. Ce sentiment d'être unique tout en se sachant que le seul but de tout cela était d'être“comme les autres”, rassemblés selon une sélection très précise. Elle observait avec attention chaque pierre qui constituait le mur : en face d'elle un tabouret était placé, avec un vulgaire chapeau posé à ses côtés. Si elle lui tournait le dos, elle pouvait voir quatre table parfaitement disposées, des têtes allant du pré-pubères à des sorciers presque aguerris. Mais Thelma n'allait pas le faire, parce que Thelma avait la frousse. L'année d'avant, tout Poudlard avait subit des pertes : encore aujourd'hui, on pouvait voir certains tableaux en lambeaux, des pierres jonchant le sol, des tours qui dont la reconstruction était inachevée. Tout ce qu'elle voulait, c'était que ses sept prochaines années se passe sans aucun problème. Après, ça pouvait être la fin du monde à l'école des sorciers qu'elle s'en ficherait pas mal. Son nom fut prononcé par la vieille femme aux vêtements émeraudes, et Thelma fut à nouveau parcourue d'un étrange frisson. Comme cela était convenu, elle s'avança. S'assit. Et attendit. “ hmmm ... si sage et pourtant si imprévisible... une jeune fille bien étrange que voilà. Curieuse, même. Si curieuse que (...) SERDAIGLE ! “ Thelma poussa un cri de soulagement. Un cri étouffé par les applaudissements des autres élèves. Thelma se senti importante, différente, même. Sauf que cet enthousiasme serait renouvelé à l'arrivée du prochain élève de serdaigle, et la jeune fille le savait. Mais elle s'en fichait : sa nouvelle famille porterait désormais les couleurs bleues et bronzes. Elle donnerait son sang pour cette famille. Bon, un cheveux, plutôt.
un coup de balais C'était pas possible. Pas encore une fois. Thelma s'effondra par terre, arrachant quelques touffes d'herbes au gazon parfait du terrain de quidditch de poudlard, salissant sa jolie robe neuve et ses genoux noueux. Courir, c'était pas vraiment son truc, et maladroite comme pas deux, elle s'était emmêlée les pieds. Malgré la douleur, elle se releva aussitôt. Un groupe de garçons, dont l'uniforme rouge et or indiquaient qu'ils était des joueurs de gryffondor, s'entrainaient un peu plus loin. Thelma osait à peine y prêter attention. Elle se sentait comme un chevalier, prêt à tout pour retrouver sa princesse. Princesse qui n'était autre que son uniforme et sa paire de chaussures favorite, des moldues. C'était encore cette fichue Mattie Redweed, une serpentard de sixième année qui ne faisait que lui casser les pieds depuis l'arrivée de Thelma à l'école des sorciers, soit un peu plus d'un an. Sans doute sur un coup de tête, elle l'avait prise pour cible, pour bouc émissaire, et ne l'avait plus lâché depuis. Son truc favoris : suspendre les affaires de la jeune fille en haut des buts de Quidditch, connaissant pertinemment la hantise de Thelma au sujet du vol sur balais. Aucun traumatisme ne pouvait expliquer cette peur incontrôlable, qui pouvait mettre Thelma dans des états impossibles. Son premier vol s'était d'ailleurs pas si mal passé, en y réfléchissant. Mais les suivants provoquèrent chez la gamine des angoisses jusqu'alors insoupçonnées. Elle restait des fois des heures à l'infirmerie, incapable de dire un mot, les yeux grand ouverts et vides de tout sentiment. Comment Mattie en avait eu vent, Thelma l'ignorait : néanmoins, le fait était là, et ses affaires suspendus à des dizaines de mètres au dessus d'elle. La deuxième année poussa un long cri de rage, qui se termina en un gémissement. Ce dernier fut immédiatement suivit par un flot incontrôlable de larmes, dont le goût salé venait se déposer sur les lèvres de Thelma, assise sur les genoux. Au loin, les visages des joueurs qui s'entrainaient se tournèrent vers elle : même avec la distance qui les séparait d'elle, ils avaient pu entendre ses plaintes. L'un d'eux enfourcha son balais, sûrement curieux. Mattie, elle, était déjà bien loin. Elle avait rejoint ses amies à l'autre bout du terrain, qui gloussaient comme des pintades et ricanaient à cœur joie. Les yeux remplies de larmes, Thelma respirait à peine lorsque le garçon de gryffondor s'était approché d'elle. “ tu veux de l'aide ? Un coup de balais, peut-être ? “ Elle ne le voyait pas, mais il souriait. A ses mots, il lui tendit l'objet désigné. “peux pas ”, gémis Thelma. “ bien sûr que si, je te le propose. Tiens, prends. ” “ peux vraiment pas. peur. Tant pis. Trop nulle pour me sauver moi-même. “ Le garçon eut un rictus, mais s'arrêta aussitôt : la pauvre fille s'étouffait presque dans ses sanglots. elle avait quelque chose de mignon, après tout. Pauvre petit chose. “ tu sais pas v... qui a fait ça ? ” Nouveau râle étouffé de la jeune fille, dont il ne voyait que les cheveux roux emmêlés. Elle désigna les serpentards, qui assistaient au spectacle en se pavanant. “ j'ai compris, t'en fais pas... ” Il était déjà en l'air lorsque Thelma leva les yeux, brulants et gonflés à causes des larmes chaudes et salées qu'elle versait depuis un bon quart d'heure. Une vraie fontaine, celle-là. Il fallu moins de temps qu'il n'en faut pour dire “quidditch” que le garçon était déjà revenu, les pieds sur terre. Il s'agenouilla, mettant son visage à son niveau. Enfin, presque à son niveau puisqu'il devait bien faire deux têtes de plus qu'elle. “ voilà. je suis désolé, je pensais pas que ça pouvait être un problème pour toi, j'aurais du aller les chercher tout de suite. ” Thelma arracha presque ses affaires des mains du jeune homme, dont la voix lui était pourtant familière. Dans l'agitation, elle n'avait pas un instant cherché à voir son visage. Il lui tendit la main. “Moi c'est Jasper. Jasper Jabberwook. ” “ merci, c'est gen... “ En une fraction de seconde, elle se frotta les yeux et ouvrit grand la bouche, le souffle coupé. Depuis un an, elle suivait ce garçon, en secret. Elle était tombée folle amoureuse de lui, avait tenté de concocter des filtres d'amour, essayé de lui lancer des sorts : si rien de tout ça n'avait marché, l'admiration et l'adoration qu'elle éprouvait pour lui n'avaient pas cessé une seule seconde, pas même lorsqu'elle s'était réellement rendue compte qu'il ne la voyait pas. Il était le sorcier de sa vie, son prince volant, son bourreau des cœurs rien qu'à elle. C'était un signe, encore un. Mais alors qu'elle allait dire un mot, n'importe lequel, elle sombra. Comme un doux rêves qui vous emporte, et un mal de tête qui vous réveille. Une fois les yeux ouverts, elle se rendit compte que tout avait disparu. Le ciel, les oiseaux qui chantaient un amour qui pouvait enfin être possible, le terrain, et surtout, lui. Un mur de pierre surplombait sa tête, et elle se trouvait dans un lit inconfortable dont elle connaissait bien l'odeur. L'infirmerie. “ Ma petite miss Hustle, enfin vous vous réveillez. Je me suis fait un sang d'encre, vous savez. J'ai cru qu'on vous avait lancé un sort tellement votre évanouissement était profond. Heureusement que Jasper était là. Il s'est beaucoup inquiété, mademoiselle. Tout ira bien, mais reposez vous, et arrêtez de vous malmener avec ces phobies. “ Thelma gromela, mais esquissa un sourire. Avec elle, l'infirmière était toujours aux petits soins. Thelma avait toujours eu un don pour se faire apprécier des adultes. Les gens de son âge, eux, l'appréciaient beaucoup moins. Mais ce n'était pas parce que l'infirmière était gentille avec elle que le sourire de Thelma grandissait, grandissait, et grandissait toujours. Heureusement que Jasper était là. Il s'est beaucoup inquiété. Inquiété. Beaucoup.
devenir grand “Tu sais, j'aurai jamais cru que je pourrais te le dire. Enfin si, j'ai imaginé maintes et maintes fois cette scène où enfin je te déclarait mon amour, tu me déclarais le tiens. On s'aimait tout les deux, et c'était beau. Quelque chose où on pourrait mourir ensemble que ça en resterait beau. un peu comme une pièce de théatre moldue que j'ai lu la semaine dernière, d'un certain Shakespirre. Roméo et Juliette, que ça s'appelle. Et c'est sacrément beau, comme toi et moi. Je sais qu'il n'y a pas encore de toi et moi, parce que nous sommes juste amis, et que je ne te l'ai jamais dit. Mais je t'aime, Jasper. Comme un nifleur aime sa nifleurette, comme la baguette choisi son magicien, comme tu avais choisi le balais. Et tu me manque. Cette année sans toi fut la plus longue et la plus dure que je n'ai jamais eu. Les examens n'aidant pas, j'ai cru que j'allais sombrer dans une dépression sévère. Je t'imagines si souvent en compagnie de belles blondes, tant admiratives de ton talent et de ton joli minois. Moi je t'aime pour toi, Jasper. Pour toi et ton manque de réflexion, tes bouderies, ta confiance en toi, tes cheveux en bataille, ton sourire et tes dents branches. Pour l'odeur de tes cheveux, de ta peau, de ta transpira... “ Thelma jeta le parchemin à la poubelle. Encore une fois, elle s'emballait, et ça devenait vraiment, vraiment bizarre. A la douce lueur d'une bougie, elle écrivait depuis plus d'une heure. Les parchemins froissés s'empilaient vers une corbeille déjà pleine. Enfin, elle était rentrée chez elle. Elle pensait qu'elle serait bien, en retournant chez elle. Mais sa gorge était toujours aussi serrée. Son absence avait pris une trop grande ampleur. uc.
c'est toi la buse ✐ thelma adore les trucs moldus, adore l'histoire moldus, adore la musique moldus, adore les habits des moldus, en gros : adore les moldus. ✐ elle est née dans une fratrie de quatre enfants dont elle est l'aînée : que des filles, que des rousses, que des folles. ✐ elle a toujours soutenu sa maison, à la limite du fanatisme. Une fois, elle a même tué un serpent et lui a accroché des ailes pour “montrer la supériorité de sa maison face aux serpillères”. Elle a finit par le pendre devant la porte de la salle commune des serpentards et s'est vu enlevé 50 points à elle et sa maison, sans compter les heures de colle. ✐ thelma est quelqu'un de très intelligent, mais a quand même une vision du bien et du mal très particulière. ✐ elle a un humour bidon, et souvent très gras. Ça ne fait rire que elle. ✐ thelma n'est pas franchement courageuse. C'est la première à déguerpir devant les ennuis : cela dit, elle déteste les gens qui agissent de la sorte. ✐ petite, elle collectionnait les cartes chocogrenouille. Enfin, “petite”, c'est ce qu'elle dit, car elle les collectionne toujours autant. ✐ thelma a une grande mémoire, mais toujours la tête ailleurs, elle n'est pas très attentive. D'ailleurs, elle écoutes rarement ce qu'on lui dit, et coupe souvent la parole. Cela dit, elle est très curieuse et adore qu'on lui raconte des histoires, qui sont toujours très longues car entrecoupées par les questions de thelma. ✐ elle raconte des mensonges à tout va, c'est presque devenu une maladie. ✐ thelma est une gloutonne. D'ailleurs, elle ne peut s'empêcher de manger au moins trois glaces de chez Florian Fortarômes par jour. ✐ elle est toujours vierge. C'EST ÇA VIEILLE GARGOUILLE, RIS. C'est pas sa faute, elle attends juste que son champion se réveille et qu'elle est là, à le regarder avec ses yeux de biches et plein d'amour.
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